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Elle épouse Marcel pour son argent, mais l’homme a préparé une revanche redoutable

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Elle épouse Marcel pour son argent, mais l'homme a préparé une revanche redoutable

Marcel, un riche agriculteur, a épousé Sandrine, une Parisienne de 25 ans sa cadette qui voulait l’exploiter. Sa vengeance est terrible.

Beaucoup instrumentalisent les liens sacrés du mariage pour hériter de la fortune de leur partenaire. C’est ce qu’a tenté de faire cette femme. Malheureusement pour elle, son mari lui a préparé une vengeance redoutable.

Le théâtre des gains et des passions

Invite a te poser autour de ce pièce. Prend une tasse de café, et laisse moi te presenter Marcel Amphoux. Oui, Marcel, 67 ans, gentil et brillant savant des champs et propriétaire opulent de quelques belles pépites environnant son village natal du Puy-Saint Pierre. L’homme, dont les coeurs de ses compatriotes murmurait comme le« riche ermite », était un exemple de simplicité. Un être de bonté et d’honnêteté, à la silhouette discrète.

Maintenant, glisse ton regard sur Sandrine Devillard, 42 ans, une étoile montante de la vie parisienne. Le genrede demoiselle flashy, une blonde dorée au sourire étincelant. Une professionnelle avantageuse de l’immobilier, rayonnante, pleine de zèle et dotée d’une esprit de réflexion affuté. Une personnalité flamboyante dans notre tapisserie contrastée, elle et Marcel, hé bien leurs rapports étaient plutôt comme le soleil et la lune.

Et c’est là que les choses pimentent, malgré la polarité des caractères, le décalage des âges d’un bon quart de siècle, ces deux là y vont, main dans la main. Comme l’information l’a été rapportée par le Dauphiné Libéré, Marcel lui-même envisage d’ancrer leur amour dans le marbre, avec le consentement du maire.

Un grain de folie dans un monde ordinaire, n’est-ce pas?

Sauf que, comme le vieux proverbe le dit si bien, lorsque quelque chose est trop beau pour être vrai, c’est que c’est improbablement vrai! Hé oui, l’amour sincère et profond de Marcel pour Sandrine n’avait en retour que l’appât de l’or, ce qui a conduit à une vengeance bouleversante. Les événements qui suivirent apportent une preuve indubitable à cette vilaine réalité.

Les proches de Marcel l’ont prévenu

On a l’habitude de dire que l’amour rend aveugle. C’était sans doute le cas de Marcel en tombant amoureux de sa blonde parisienne. Pourtant, ses proches ont bien compris la stratégie de Sandrine et ont essayé de prévenir le riche agriculteur.

« Ne signe pas Marcel. Tu es en train de te faire arnaquer. Elle va te trahir », lui aurait sorti un de ses proches, selon le Dauphiné Libéré. Malgré les méfiances et les appréhensions, Sandrine a fini par épouser le sexagénaire, qui n’avait alors aucun plan de vengeance, le 7 septembre 2011.

De son côté, la nouvelle mariée ne pouvait que remarquer l’animosité des 500 habitants du village du Puy-Saint-Pierre. Ainsi, pour essayer d’améliorer son image et de laver son honneur, elle a pris la parole, disant que la fortune du « riche ermite » ne l’intéressait pas.

Auprès du journal Le Parisien, elle avait révélé posséder ses propres biens. En guise de déclaration d’amour à Marcel, elle a même enregistré un clip. Il va sans dire que tout cela n’a été que de la poudre aux yeux. Son visage se dévoile après le drame…

Un riche ermite orchestre sa vengeance depuis l’au-delà

Loqué dans une masure montagnarde sans eau ni électricité, Marcel n’était pas ce que la plupart des gens appellerait un nabab. Pourtant, derrière ce façade rustique, un véritable trésor était tapi ; d’où son surnom affectueux de « riche ermite ». En effet, le bonhomme avait posté sa bulle sur plusieurs petites pépites immobilières dans les Alpes, bordant les stations de ski idylliques.

Si l’on fait le total, le pactole de Marcel flirtait facilement avec le gros million d’euros. Et sans descendance à qui léguer tout ça, vous pouvez parier votre chemise que sa femme, Sandrine Devillard, allait ramasser la mise… enfin ça, c’est ce qu’elle pensait.

Faites tourner le flashback jusqu’en novembre 2012 – un an pile poil après le mariage de Marcel et Sandrine, notre pauvre Marcel rencontre la faucheuse lors d’un accident de bagnole. Un coup fourré dans un brouillard à couper au couteau et une météo pourrie – en tout cas, c’est la version officielle.

Et devinez qui tenait le volant quand la bagnole a plongé dans le ravin ? L’acolyte et voisin de notre cher Marcel. Un personnage clé qui, il faut le dire, a servi de Cupidon rural en jouant les entremetteurs entre Marcel et Sandrine. Coïncidence ? Je ne crois pas.

Le beau paradoxe de l’histoire, c’est que la chère Sandrine, tout juste veuve, a tenté de mettre à la porte les dévoués locataires. Sauf que, ruée dans les brancards, elle s’est aperçu que son nom brille par son absence sur le testament. Vous voyez, notre cher Marcel n’était pas qu’un ermite, mais aussi un sacré rusé. Il a tout légué, jusqu’au dernier centime, à ses locataires.

Peut-être une petite pique à Sandrine pour ses 5 ou 6 misérables visites en l’espace d’un an. Une femme bien occupée, débordée par le travail qu’elle disait à Marcel. Comme on dit, la vengeance est un plat qui se mange froid !

Et Sandrine dans tout ça ? Elle espère encore récupérer la marmite au bout de l’arc-en-ciel… en passant par les tribunaux. Restez connectés, la suite au prochain épisode !

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